155 ème anniversaire du combat de Camerone : « tu n’abandonnes jamais ni tes morts ni tes blessés ».
Hommage à ces combattants héroïques.
155 ème anniversaire du combat de Camerone : « tu n’abandonnes jamais ni tes morts ni tes blessés ».
Hommage à ces combattants héroïques.
Conseil municipal du 12 avril 2018. Question à Monsieur Le Maire :
Comment expliquez-vous qu’au Crès, les dépenses réelles de fonctionnement pour chacun des 9079 Cressois (720,55€) soient inférieures de 30% à la moyenne nationale (1 033€) ?
Réponse de Monsieur le Maire : « ….»
Explication de Monsieur l’adjoint délégué aux finances : « C’est un rapport très particulier, je ne regarde pas ce ratio ou très très peu…..vous savez, ici, on est dans le sud et si vous regardez les impôts sur le sud et les impôts sur le nord, c’est multiplié par 1,9 quasiment par 2. Moi je me base plutôt sur les 31 communes de la Métropole …»
En clair, au sud, trop d’impôts empêchent de dépenser plus…!?
Pour Agir pour Le Crès, il apparaît tout à fait possible pour « rattraper » ce déficit avéré au niveau des dépenses par habitant, d’accroître en nombre et qualité les services publics communaux, les moyens mis à la disposition par exemple, du CCAS, des aînés, des jeunes, des associations, et d’accroître certains effectifs comme celui de notre Police Municipale. PLUS et MIEUX.
Par ce que l’argent, NOUS L’AVONS. Plus de 3 millions d’euros à la fin de l’exercice 2017.
Finalement, en 2017, par rapport aux habitants de villes de même importance, chaque Cressois a payé 56% d’impôts EN PLUS et, en retour, a bénéficié de 30% de services publics EN MOINS. Et pourtant, c’est NOTRE argent !
D’accord nous ne sommes pas au nord. Mais Il y a quand même là matière à réflexion, non ?
Cressois, circulons et payons ! Vive le sud !
Conseil municipal du 12 avril 2018. Question à Monsieur le Maire.
Le produit des impositions directes pour chacun des 9079 Cressois s’élève à 738,12 €.
Comment expliquez-vous l’écart de 56%, oui 56% de plus que la moyenne nationale qui est de 471 € ?
Réponse de Monsieur le Maire : « ….».
Explication de Monsieur l’adjoint délégué aux finances : « Par ce que nous sommes dans le sud et que les impositions au niveau national, entre la zone nord et la zone sud, sont du simple au double».
Ben voilà. C’est donc normal. Et puis y’a rien à ajouter !
Et ce sont pourtant bien les contributions payées par les Cressois qui sont concernées.
Pour Agir pour Le Crès, il apparaît clairement que les Cressois sont surtaxés et surimposés, et qu’il est tout à fait possible de réduire et d’abaisser les taux communaux des impositions votés par la seule majorité municipale. L’autosatisfaction relevant de la non augmentation des taux est injustifiée et inappropriée au regard des intérêts des contribuables cressois
Les montants sont suffisamment éloquents : 738 euros contre 471 euros au niveau national pour les villes de même importance.
Les impôts peuvent et doivent BAISSER au Crès.
Nos voisins Castelnauviens l’ont fait ces 6 dernières années.
Et au Crès ? Ah ! C’est vrai, …..nous, nous sommes dans le sud !
Notre salle de spectacles peut, selon l’expression populaire, briller de 1000 feux.
Ses recettes engendrées tout au long de l’année 2017 (22 760€) ont couvert les dépenses annuelles d’énergie et d’électricité pour l’ENSEMBLE des installations culturelles cressoises (17 024€).
Reste quand même pas grand chose pour régler les autres dépenses importantes de l’Agora (spectacles, personnel, loyers).
Laurent SOCCORO, nouveau Conseiller Municipal de la liste Agir Pour Le Crès.
46 ans, Attaché d’exploitation chez Urbaser Environnement, Président du Club Central des Supporters du MHSC, Adhérent du Club Taurin et Sympathisant du club Castelnau le Crès FC.
Habitant depuis 1997 sur Le Crès, marié, 2 enfants. Je suis engagé pour l’évolution de la commune depuis 10 ans et 4 ans auprès de Stéphane CHAMPAY et de la liste Agir Pour Le Crès. Je vais continuer, tant au conseil municipal qu’en extérieur avec mon implication au sein des associations.
Midi Libre du 19 avril 2018: De longs débats autour des finances …et donc de l’argent des Cressois.
À venir, les interventions d’AGIR POUR LE CRÈS en Conseil Municipal du 12 avril 2018.
2nd Atelier citoyen : riches échanges, partages chaleureux et nombreuses propositions pour l’amélioration du quotidien et pour l’avenir du Crès et des Cressois
Dans le cadre du débat d’orientations budgétaires, déclaration des élus d’Agir pour Le Crès, à enregistrer intégralement au procès-verbal du compte rendu du conseil municipal du 10 avril 2018.
Avant le vote du budget, la loi NOTRe prévoit en conseil municipal la tenue d’un débat d’orientations budgétaires (DOB) qui doit faire l’objet d’un rapport (ROB).
Un rapport a été effectivement adressé aux élus en pièce annexe à l’ordre du jour du conseil municipal tenu le 15 mars dernier : « le présent rapport a pour objet de fournir les éléments utiles à la réflexion ».
Le ROB doit constituer un authentique outil de travail, complet et fiable.
Juste avant le DOB, a été présenté par vidéo projection et remis un document intitulé » Débat d’Orientations Budgétaires 2018″, comportant des éléments financiers et budgétaires nouveaux.
L’information en amont des élus s’avère donc incomplète et insuffisante. En l’absence d’éléments importants non communiqués, comment débattre ? Et pourquoi ? Puisque seuls certaines informations essentielles sont détenues par le Maire qui décide de ses orientations. Sans les justifier ni les motiver. Bonjour la démocratie !
Impréparation suite à urgence, révélatrice du peu de considération, voire du mépris, manifestés à l’égard de l’opposition ?
Les élus d’Agir pour Le Crès ne sont pas là pour « faire joli ». Nous sommes là d’abord par ce que 47,54% des électeurs cressois nous ont accordé leur confiance. Ensuite par ce qu’il s’agit de débattre de vos orientations budgétaires, c’est-à-dire de la collecte et de l’utilisation de l’argent des Cressois pour 2018. Les millions d’euros dont la Commune dispose, c’est leur argent.
Rappel des propositions d’Agir pour Le Crès :
Castelnau le lez l’a fait 6 années consécutives.
Pour finir, malgré sa pauvreté et sa médiocrité, d’éléments importants non portés à la connaissance de l’opposition, le DOB n’a fait l’objet d’aucun vote en conseil municipal le 15 mars 2018.
Encore une impréparation qui fait que nous sommes réunis aujourd’hui.
A quand un vrai débat dans le cadre et dans l’esprit de la loi NOTRe ?
Les orientations budgétaires de la majorité municipale créent des déséquilibres et des inégalités entre les générations de Cressois. Ce qui est profondément injuste et inapproprié. Au final, tous les Cressois sont impactés, tous négativement.
La commune possède une trésorerie importante. La preuve ? Pas d’emprunt. Pourquoi ? Par ce que les fonds sont à disposition et ont déjà été encaissés.
Fin 2017, c’est 3 000 000 €. D’où proviennent-ils ? Des ressources fiscales et donc de la poche des contribuables cressois. Et ceci, de manière excessive. Les Cressois sont surtaxés et surimposés.
L’argent EST disponible. C’est une réalité. Il est tout à fait possible de voter la réduction des taux d’imposition.
D’autres communes l’ont déjà fait. Par exemple, à Castelnau, les taux d’imposition communaux ont baissé cette année encore, soit 6 années consécutivement. Mais au Crès, non ! Et pourtant !
Pas d’emprunt, de l’argent dans la caisse, voilà une bonne occasion de diminuer certaines charges dont les loyers de la salle de spectacles que la commune devra acquitter, encore pendant 29 ans. Un paiement anticipé peut être envisagé.
Pour l’Agora, le comble serait ( sait-on jamais ?) que la commune emprunte pour être en mesure de faire face aux dépenses liées à son aménagement intérieur et son exploitation (loyers).
Pour la vidéo protection, enfin des moyens supplémentaires quant au nombre des caméras. Et pour les effectifs de la Police municipale ? L’impréparation de ce dossier n’encourage aucun optimisme pour 2018.
Pour la voirie, au lieu de « maintenir un haut niveau d’investissement »,il parait hautement souhaitable pour notre voirie de maintenir un haut niveau d’entretien et de remise en état, ce qui lui ferait perdre son image de « laissée à l’abandon ».
Absence d’emprunt, fiscalité locale excessive témoignent d’un manque de projets d’investissements importants et ambitieux. Les finances de notre commune pourraient être largement optimisées pour le mieux-vivre de tous.
Et pourtant….et pourtant, il nous appartient à nous, et à NOUS TOUS, de construire l’avenir du Crès et des Cressois.
Tous les Cressois savent depuis longtemps que l’existant de 8 caméras est obsolète. Pour eux, pas besoin d’une « première étude menée conjointement entre les services de la police municipale et la gendarmerie ». Étude pourtant nécessaire pour notre Maire qui semble avoir enfin compris pourquoi on ne parle plus de vidéo surveillance (terme d’un autre temps et d’autres mœurs), mais de vidéo protection demandée par de très nombreux concitoyens.
L’investissement de 630 000€ sur 3 ans pour la mise en place d’une quarantaine de caméras satisfait Agir pour Le Crès. La mise en œuvre de la vidéo protection constitue un des projets majeurs de notre programme, surtout lorsqu’elle n’est pas limitée aux seuls abords des écoles et des bâtiments communaux. Preuve que l’idée était et reste bonne.
L’installation de caméras est soumise au respect des règles prévu par le code de la sécurité intérieure. Mais, au jour du conseil municipal, le Maire a indiqué qu’une étude était en cours et qu’aucune autorisation d’installation de caméras n’avait été faite auprès du Préfet.
Entre le « big brother» insupportable et la légende du vidéo flag, il y a matière à assurer une plus grande sécurité dans notre ville et pour les Cressois.
Mais il nous paraît indispensable que cet investissement dans 40 caméras soit suivi d’une exploitation en temps réel. Ce qui implique un accroissement des moyens mis à la disposition de notre police municipale, et notamment au niveau de ses effectifs qu’il conviendra de compléter pour optimiser l’efficacité de la vidéo protection.
Cet investissement dans les effectifs de la Police Municipale n’a fait l’objet d’aucune estimation, ni en nombre ni en coût.
Pour la vidéo protection, une » une subvention aux services de l’Etat sera sollicitée « . D’après notre Maire, aucune demande n’a été adressée au Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance. La date buttoir : 30 mars 2018.
Vu l’impréparation, la mise en œuvre de la vidéo protection en 2018 parait bien compromise. Pourtant, 200 000 € par an et pendant 3 ans, c’est un investissement important, attendu par de très nombreux concitoyens.
À venir: intervention d’AGIR POUR LE CRÈS … en résumé du DOB.